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Voyage en Orient de Guillaume II en 1898       Alep - décembre 2010
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      À l’automne 1898, l’empereur allemand Guillaume II voyage pendant un mois en Turquie, en Palestine, au Liban et en Syrie. Sa visite est d’abord politique : sa rencontre avec le sultan Abdülhamid II à Constantinople vient renforcer la coopération militaire et économique entre les deux empires dont le projet le plus éclatant est la construction de la ligne de chemin de fer reliant Constantinople à Bagdad. Guillaume II se rend ensuite en pèlerinage en Palestine. À Jérusalem, il inaugure l’église luthérienne du Rédempteur et remet officiellement le terrain de la Dormition de la Vierge aux catholiques allemands, faisant preuve d’une politique équilibrée visant à unifier son jeune empire. Le séjour à Damas est marqué par sa bienveillance à l’égard des musulmans : il visite la Grande Mosquée des Omeyyades, fait déposer une couronne sur la tombe de Saladin, et déclare son amitié aux trois cents millions de musulmans du monde entier, déclenchant la colère de la France et de l’Angleterre qui redoutent les effets du panislamisme sur leurs colonies. Il visite enfin Baalbek et décide l’envoi d’archéologues au Liban qui effectueront les premiers travaux sur le site dès la fin de l’année 1898 avant de poursuivre leurs recherches en Mésopotamie. Ce voyage, étonnamment moderne, qui permet de mieux comprendre les relations liant aujourd'hui l'Allemagne au Proche-Orient, est retracé à travers une riche iconographie (photographies, dessins de presse, caricatures, etc.).

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Les Franciscains à Alep
       Alep - avril 2010
 

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L’ordre fondé par saint François d’Assise fête en 2010 ses 800 ans, l’occasion de mettre en lumière la présence et l’activité des franciscains en Terre sainte et à Alep, à travers photos, livres et documents anciens. Sont ainsi exposées des photographies de leurs édifices religieux et scolaires à Alep ainsi que des lieux saints de Palestine dont ils assument conjointement la charge, notamment le Saint-Sépulcre à Jérusalem et l’église de la Nativité à Bethléem. Des documents viennent attester l’ancienneté de leur présence en Orient, et montrer leur œuvre d’érudition ainsi que leur travail d’éducation dont l’école Shibânî fut le symbole à Alep à partir de 1859.

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Walter Andrae : de l'art à l'archéologie
         Alep - mai 2009


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Walter Andrae (1875-1956), après des études d’architecture, participe en 1898 comme dessinateur à l’expédition menée par Robert Koldewey qui a pour but d’étudier les ruines de Babylone. Il s’initie à l’archéologie et se voit confier en 1903 la direction des fouilles du site d’Assour. La guerre en 1914 vient interrompre ses recherches, mais Walter Andrae revient au Levant dès 1915 pour servir comme soldat sur le front oriental. En 1921, il succède à Robert Koldewey au poste de conservateur du département Moyen-Orient des musées nationaux à Berlin. Il devient directeur de ce département en 1928, poste qu’il occupe jusqu’en 1951.

L’exposition se propose de présenter les dessins et aquarelles de Walter Andrae réalisés lors de ses voyages en Orient : principalement l’Irak mais aussi Istanbul, le Liban, la Palestine et la Syrie. 

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Voyage en Orient d'Alphonse de Lamartine
         Alep - mai 2009


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Portrait de Lamartine par Dr. Yasser Habrawi



  
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Lamartine entretient une relation particulière avec l’Orient. Son voyage en 1832-1833 qui le conduit au Liban, en Palestine, en Syrie et en Turquie, est plus qu’un simple pèlerinage ou une visite des ruines de l’Antiquité. Il s’agit d’un voyage poétique, philosophique, initiatique, marqué par la mort de sa fille Julia, en même temps qu’une découverte de l’Empire ottoman et de l’islam, ou plutôt une rencontre humaine avec ses habitants de toutes confessions. S’imaginant des origines arabes et des ancêtres dénommés « Allamartine », il envisage de s’établir sur les terres du sultan et réalise ce rêve en 1849 : Abd-ul-Mejid lui octroie un domaine dans la région de Smyrne. L’aventure tournera court mais révèle que l’Orient est bien la « terre de son imagination ». L’exposition présente différentes éditions et gravures du Voyage en Orient parues au XIXe siècle, accompagnées de descriptions poétiques ou réflexions philosophiques de Lamartine car « changer d’horizon moral, c’est changer de pensée ». Ses dernières paroles au départ de Constantinople sont une leçon d’humanisme et de tolérance : « toutes les religions [ont] leur divine morale, toutes les civilisations leur vertu, et tous les hommes le sentiment du juste, du bien et du beau, gravé en différents caractères dans leur cœur par la main de Dieu. »

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Rembrandt, la Bible et l'Orient
          Alep - mai et juin 2008


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Rembrandt, portrait d'un Oriental, 1635


 
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      Lorsque Rembrandt s'installe à Amsterdam en 1631, il loge chez le riche marchand Hendrik van Uylenburg qui fait commerce de toutes sortes de choses, y compris d'oeuvres d'art. L'artiste a ainsi tout loisir de contempler les marchandises provenant de pays lointains. Il se met à les collectionner et lorsqu'en 1656, ne pouvant honorer ses dettes, ses biens seront vendus, on trouvera parmi eux des pierres précieuses, des étoffes, des fers ciselés, des armes damasquinées, des cuivres, des étains, des marbres, etc., autant d'objets qui sont présents dans ses tableaux et leur donnent une tonalité exotique. Parmi les objets collectionnés par le peintre et qui circulent à Amsterdam se trouvent des portraits de personnages ottomans, principalement des sultans ainsi que des courtisans, mais aussi des miniatures persanes et indiennes, autant de sources pour l'artiste qui imite ces miniatures et réalise de nombreux portraits d'homme en costume oriental, jusqu'à se représenter lui-même enturbannée et revêtu d'une longue robe d'étoffe précieuse aux couleurs chatoyantes.
      Rembrandt n'a jamais voyagé en dehors des Pays-Bas, mais grâce au commerce international dont Amsterdam est devenue le centre et au cosmopolitisme de sa population, c'est l'Orient qui vient à lui. En 1639, il achète une maison dans la Breestraat à Amsterdam, proche d'un quartier dont les habitants ont pu lui servir à l'occasion de modèle.
      Dans certaines de ses peintures et eaux-fortes apparaissent les thèmes de la violence (Samson aveuglé par les Philisitins) et de la sensualité (Suzanne et les vieillards) qui seront exaltés par la peinture romantique, rappelant que l'orientalisme n'est pas né au XIXe siècle. L'intérêt pour l'Orient s'intègre dans le vaste mouvement humaniste de la Renaissance qui redécouvre le monde antique. Un tableau montrant Aristote vêtu de riches vêtements aux tonalités orientales, appuyé sur le buste de Homère, révèle ce lien entre Antiquité et Orient créé par l'Humanisme.
      Cette volonté de retourner aux sources va entraîner Rembrandt à "orientaliser" les scènes bibliques dans lesquelles les personnages étaient traditionnellement représentés à l'occidentale. Ces scènes, empruntées principalement à l'Ancien Testament, montrent Saül, Jacob, Joseph, Jérémie, etc., coiffés d'un turban et enveloppés de riches étoffes. Plus qu'un simple décor ou qu'un déguisement exotique, cette orientalisation semble refléter un désir d'authenticité, de retour aux sources, de vérité, à l'image de l'art de Rembrandt qui, par un savant jeu de contrastes et de clair-obscur, excelle à révéler les replis cachés de l'âme humaine.

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Les 400 ans du consulat des Pays-Bas à Alep          Alep - octobre 2007


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C’est à Alep vers la fin du XVIe siècle que les Néerlandais commencent à s’implanter pour développer leur activité et rechercher les produits précieux venus des Indes, de Perse et d’Arabie. Alep est alors un carrefour non seulement commercial, mais aussi culturel, une cité cosmopolite où s’échangent manuscrits, savoirs et techniques, où se côtoient Européens, Arabes, Turcs, Persans, Arméniens et Grecs. Avant la nomination du premier consul des Provinces‑Unies à Alep, les marchands néerlandais sont obligés de se placer sous protection française ou anglaise pour pouvoir commercer librement. Mais cette protection ne semble pas avoir satisfait les marchands néerlandais. En 1607, le Conseil Souverain des représentants de la Province de Hollande décide de demander à l’agent commercial de Dordrecht, Aernout de Valée, d’assumer la fonction de consul aux frais des marchands néerlandais installés à Alep. C’est le premier consul des Pays-Bas nommé officiellement dans le Levant. Dans les faits, il semblerait que le consul Aernout de Valée n’ait pas été reconnu par les autorités ottomanes et que les Néerlandais aient continué à subir une certaine protection française jusqu’en 1612, date de la signature des Capitulations entre la République des Sept Provinces‑Unies et l’Empire ottoman. Les Capitulations obtenues par Cornelis Haga sont confirmées par le sultan Murat IV en 1634 et renouvelées par Mehmet IV en 1680. Elles posent les bases des relations politiques et économiques entre les Pays‑Bas et l’Empire ottoman jusqu’à sa disparition. Sur le plan économique, elles permettent l’instauration de la libre circulation des marchands ainsi qu’un droit de douane préférentiel. L’accord prévoit également le droit pour la République d’établir des consuls dans l’Empire ottoman. Un réseau de consulats est ainsi établi dans tout l’Empire. L’exposition retrace le début des relations économiques, politiques et culturelles entre les deux États à travers gravures, photos et documents anciens.

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Voyage romantique à travers les dessins de William Bartlett
         Alep - juin 2007


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Né à Londres en 1809, William Henry Bartlett est le modèle de l’artiste-voyageur. Il a parcouru non seulement l’Europe mais aussi l'Amérique du Nord à trois reprises et plus souvent encore l’Empire ottoman.

Cet intérêt pour l’Orient se retrouve dans les nombreux ouvrages dont il est l’illustrateur de génie, et, pour une dizaine d’entre eux, l’auteur talentueux. Citons par exemple Syria, the Holy Land, Asia Minor (1836), Beauties of the Bosphorus (1839), Walks about Jerusalem  (1845), Forty Days in the Desert (1848), The Nile Boat (1849), Footsteps of our Lord (1851), livres qui connurent un certain succès si l’on en juge par leurs multiples rééditions. 

L'exposition présente plus de deux cents dessins de William Bartlett à travers un itinéraire imaginaire allant des Pays-Bas à la Syrie en passant par l'Europe centrale, la Turquie, l'Egypte, la Palestine et le Liban.

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Alep - juin 2007
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Idleb - mai 2008
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Les 75 ans du magazine al-Dad
         Alep - juin 2007


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Le magazine Al-Dad a été fondé en 1931 à Alep par Youssef Chelhout et le grand poète Abdallah Yorgi Hallak qui en devint quelques années plus tard le seul propriétaire. Cette revue mensuelle en langue arabe qui aborde des sujets littéraires, artistiques et scientifiques aussi bien que les activités culturelles et sociales à Alep, s’imposa rapidement comme une référence. Depuis 1989, le magazine est sous la direction du fils d’Abdullah Yorgi Hallak, Riad Hallak dont le fils Abdallah est devenu il y a quelques années rédacteur en chef, perpétuant ainsi cette tradition familiale. Diffusé un peut partout dans le monde, ce magazine tient une place tout particulière : de même que la lettre dad existe seulement dans la langue arabe, de même la revue Al-Dad demeure unique dans le paysage des périodiques littéraires du monde arabe.


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La Grande Mosquée et la madrasa al-Halawiyeh
         Alep - septembre 2006


Grande Mosquee_Alep




   
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La Grande Mosquée omeyyade d’Alep, aussi connue sous le nom de Mosquée de fut bâtie vers 205 de l’hégire (715 ap. J.-C.) par Sulaiman bin Abdul Malik à l’emplacement des jardins de la cathédrale byzantine. Suite aux profanations par les Croisés des cimetières musulmans aux portes de la ville en 518 (1124 ap. J.-C.), le Qadi ibn al-Khashab transforma quatre églises d’Alep en mosquées, dont la cathédrale, qui devint "la Mosquée des Selliers". Nour al-Din décida en 543 (1148 ap. J.-C.) de l’aménager en une madrasa qui ouvrit ses portes l’année suivante et devint l’une des plus renommées. Il organisa à l’intention des professeurs et juristes des distributions fréquentes de pâtisseries qui sont à l’origine de son nom : al-Halawiyeh.

Ces deux édifices sont étroitement liés, ne serait-ce que par leur proximité géographique et leur histoire commune. Ils ont tous les deux soufferts de l’incendie déclenché par les envahisseurs tatars en 658 (1260 ap. J.-C.) ; et le Qadi ibn al-Khashab, le fondateur de la Mosquée des Selliers, est également à l’origine de l’édification du minaret de la Grande Mosquée : il entreprit sa reconstruction qui sera achevée sous le sultan seljouk Malik Shah en 483 (1090 ap. J.-C.). C’est sous cette forme que nous pouvons encore admirer aujourd’hui le minaret.

Cette exposition est aussi une reconstruction : celle d’un monument élevé à la gloire du passé du haut duquel les fidèles admirateurs d’Alep Al-Shahba sont appelés à célébrer la capitale de la culture islamique 2006.

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L'âge d'or des livres islamiques arabes imprimés
dans le monde musulman (1790-1936)
    Alep - mai 2006




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        Si la naissance en Orient de l’imprimerie en caractères arabes est facilement identifiable – à Alep en 1705 avec des livres chrétiens - il est impossible de déterminer une ville et une date précises comme origines des publications islamiques. C’est vers la fin du XVIIIe siècle que se produisit une véritable efflorescence dans tout le monde musulman, un printemps où les fleurs de l’Islam s’ouvrirent et diffusèrent leur parfum de sagesse. Le Caire a tenu une place à part dans ce paysage avec l’imprimerie Boulaq et l’important centre de diffusion Al‑Azhar. Mais cet essor a eu lieu un peu partout : non seulement en Egypte, mais aussi dans la Syrie ottomane, à Istanbul, au Maroc, en Tunisie, en Iraq, en Iran et jusqu’en Inde. Les livres exposés viennent de toutes ces régions et se veulent les reflets de ce formidable mouvement de diffusion de la culture arabo-islamique. Puisse ce reflet briller dans vos yeux comme les étoiles dans la fontaine qui regarde les astres élevés et prend un peu de leur lumière.


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Le tricentenaire de la première imprimerie arabe
en Orient (1705-2005)
       Alep - avril 2005



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      Les Arabes n’ont pas attendu la venue de Napoléon en Égypte pour découvrir l’imprimerie en caractères arabes. C’est à Alep, au tout début du XVIIe siècle, que fut publié en Orient le premier livre en langue arabe, par la patriarche Athanase Dabbas qui importa l’imprimerie de la Valachie et le diacre Abdallah Zakher qui grava les caractères. L’exposition présente les premiers ouvrages publiés en langue arabe au Levant, ces Adam et Eve de l’imprimerie modelés de la main de l’homme pour exalter Dieu. Le papier en es tiré de l’arbre de la Connaissance mais aussi de l’arbre de Vie à l’orient du jardin d’Éden, car si Dieu créa l’homme à son image, l’homme créa le livre à l’image de Dieu, savant et éternel. L’émotion devant ces livres n’est pas seulement religieuse, mais tout simplement humaine et intellectuelle car ils symbolisent le début de l’imprimerie en langue arabe en Orient et une large diffusion de la culture.



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Automobiles et tourisme          Alep - juillet 2004



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       Une voiture, c’est une émotion : l’introduction de la clé de contact est un acte d’amour et de communion, le cri du moteur qui s’ensuit est le cri du nourrisson, les essuie‑glace éloignent les premiers pleurs. Une voiture, c’est l’ivresse de la liberté et de la vitesse, un sourire au passant ou plus souvent un hurlement de klaxon à l’imprudent piéton, une réflexion sur la voie à prendre à un rond-point de la vie, un rire lors du voyage à la campagne, le souvenir d’un baiser et de la buée sur les vitres, une larme qui coule le long de la route et le grand silence qui suit le grand boum.

       La Syrie est un musée vivant : il est aussi facile de glaner au cours d’une visite sur un site historique des objets datant de 5000 ans que d’apercevoir au cours d’une promenade dans les rues d’Alep ou de Damas des voitures datant de 50 ans. Ces traces de civilisations disparues, nous pouvons les prendre dans la main avec délicatesse, non sans une certaine émotion, et ces voitures, nous pouvons encore les conduire, poser une main timide sur le volant et le levier de vitesse, et entendre le ronronnement du moteur venu d’un autre âge.

       Si la voiture est un moyen pour le touriste de visiter un pays, elle est en Syrie un objet même de tourisme, véritable attraction pour un passionné d’automobile.


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Gibran et ses masques          Alep - mai 2004



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     Gibran Khalil Gibran n’est pas seulement un écrivain, mais aussi un peintre et dessinateur talentueux. Les masques du Fou trouvent un écho dans les portraits réalisés par l’auteur et présentés par Hussein I. El-Mudarris : masques de poètes arabes comme Al-Mutanabbi ou Ibn al-Fared ou d’écrivains français comme Edmond Rostand, masques de l’amour comme Mary Haskell, ou du Prophète, Jésus ou Al-Moustafa, pour finir par les propres masques de Gibran Khalil Gibran à travers son auto-portrait.


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Gibran... Hugo : la plume et le pinceau
         Alep - avril 2004



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     Gibran Khalil Gibran et Victor Hugo, écrivains mondialement célèbres, sont aussi deux peintres et dessinateurs méconnus, points communs d’une longue liste. Il n’y a pas eu de rencontre entre les deux auteurs ni d’influence manifeste. Gibran a étudié le français au collège de la Sagesse à Beyrouth suffisamment pour pouvoir critiquer les traductions arabes des Misérables. Il admirait Hugo mais il est assez difficile d’établir avec certitude une influence réelle. Si la rencontre n’a pas eu lieu, chacun à sa manière a voyagé vers l’autre : géographiquement pour Gibran qui a vécu à Paris et émigré aux États-Unis, littérairement pour Hugo qui a composé le recueil des Orientales. Pourtant les ressemblances, simples coïncidences peut-être, sont remarquables : elles touchent la vie des auteurs, leurs engagements politique et littéraire, la vision du poète, de Dieu, de la religion. Tous deux, poètes et peintres, ont en commun le qalam, à la fois plume et pinceau.

     Cette exposition a pour but d’esquisser deux lignes qui sont parfois parallèles, qui tantôt se coupent et tantôt divergent, dessinant ainsi les portraits de deux génies littéraires et artistiques.

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Itinéraire de l'économie syrienne aux XIXe et XXe siècles          Alep - septembre 2003




   


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L'église de la Nativité et le Saint-Sépulcre (1855-2002)          Alep - septembre 2002



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Regard sur le bon vieux temps (1875-1966)



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    Une photo de mariage est une photo de la vie. L’avenir du jeune couple s’y lit aussi facilement qu’un conte. Le sourire s’adresse‑t-il au photographe ou est‑il dû au bonheur de l’instant ? Les yeux brillent‑ils de la lumière du foyer à venir ou sont‑ils sombres des cendres de futures disputes enflammées ? La position assise ou debout de chacun et la façon de se tenir la main sont également des indices sur l’avenir plus ou moins heureux des mariés.

     Le mariage est en effet un conte de fée : le temps d’un soir, l’épouse devient princesse et revêt une robe magique. Les photos nous font voyager au cœur des pays du Levant où nous apparaissent des femmes aux costumes traditionnels mystérieux. Le mariage pour une femme, en particulier dans les pays arabes, est une aube, peut-être identique à celle qui vient briser le rêve de Cendrillon ; c’est une pleine lune qui s’élève dans la nuit, accompagnée des hurlements du grand méchant loup ; c’est un caillou blanc jeté sur la route de la vie pour ne pas se perdre, une promesse de la bouche de Blanche-neige qui sourit et révèle ses dents de soie.

     La robe est une page blanche où l’encre du costume noir écrit une histoire commune. Les photos anciennes de la collection privée de Hussein I. El-Mudarris font de lui un conteur de pays fantastiques, de moments féériques et d’instants poétiques.


Biarritz
mai 2002

Damas
janvier 2003
Homs
mars 2003
Idleb
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La femme et la photographie
 




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1e partie : La vie des femmes en Orient et en Occident (1901-1958)
Alep - mai 2000

Cette exposition présente une collection de photographies rares et anciennes sur la vie des femmes en Orient et en Occident. Ces photographies constituent des documents visuels importants de la vie des femmes appartenant à différentes classes sociales, dans l’espace public comme privé ainsi qu’à diverses occasions sociales.


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2e partie : mariages traditionnels au Levant (1875-1958)
Alep - mai 2001

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Femmes et mémoires des photographes orientalistes (1870-1953)
Alep - mai 2002

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La mosquée al-Aqsa et le Dôme du Rocher :
                     leur impact sur l'histoire du Levant (1855-1980)
         Alep - septembre 2001




   
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Out of Curiosity : voyageurs néerlandais au Levant
         Alep - mars 2001




   
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Personnalités religieuses du judaïsme, du christianisme et de l'islam
au Levant (1864-1973)
         Alep - septembre 2000


   
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